Tribune d'Information sur le Rwanda

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RDC-Rwanda: Goma a tu� Paul Kagame


Residents de Goma tuent chien Kagame

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Ce Vendredi 10 Janvier la popuplation de Goma est Sortie pour envahir les rues des croix, des cerceuils en bois et en carton�..Et un Chien tu�
Tout ceci est parti d�une rumeur selon laquelle le pr�sident rwandais est Mort.
La meme population qui c�l�brait le d�c�s de Paul Kagame n�avait meme pas une seule information pr�cise � cet effet. De la route Katindo jusqu�au centre ville en venant de tous les quartiers de Goma la population (Jeune et adulte, femme et homme ) est mont�e sur des Bus, des Motos, des Camions de la MONUSCO pour c�l�brer la mort suppos�e de Paul Kagam�.
Le paroxysme est ce chien tu� qui a �t� promen� vers la Grande Barri�re en face du Rwanda. Jusque midi ceux qui ne le savaient pas sont venus s�ajouter � la Foule� Une rumeur qui prouve que le pr�sident Paul Kagame est honni � Goma et en RDC en g�n�ral
Auteur : Magloire Paluku (2324)
Source: http://voiceofcongo.net/

January 10, 2014   No Comments

Ren� Mugenzi sur l’assassinat d’opposants rwandais: �La communaut� internationale n’a rien fait�

Par RFI – 08 janvier 2014.

Le Rwanda a souvent �t� soup�onn� d’avoir commandit� ou ex�cut� des assassinats ou des tentatives d’assassinat � l’�tranger, sur des opposants ou des personnalit�s critiques. Kigali a toujours d�menti. Des sources rwandaises et �trang�res avaient affirm� en 2011 qu’un tel complot avait cibl� des exil�s au Royaume-Uni. Le Rwandais Ren� Mugenzi l’affirme � son tour sur RFI. Scotland Yard l’avait pr�venu par �crit que sa vie pourrait �tre menac�e.

Survivant du g�nocide et activiste des droits de l’homme, le Rwandais Ren� Mugenzi vit toujours en exil en Angleterre actuellement.

Il y a deux ans et demi, il avait �t� notifi� par �crit par Scotland Yard, la c�l�bre police londonienne, qu’il existait des informations cr�dibles faisant �tat d’une menace � son encontre.

Menace ��imminente��

Le 12 mai 2011 dans la soir�e, Ren� Mugenzi dit en effet avoir re�u la visite de la police m�tropolitaine de Londres. Un certain d�tective James Boyd, qui a pris sa retraite depuis, l’informe que sa vie est en danger.

Dans le document de notification de Scotland Yard, dont RFI s’est procur� une copie, il est stipul� qu’une ��source de renseignement fiable a �tabli que le gouvernement rwandais mena�ait (sa) vie de fa�on imminente��.

Ci-dessous, ledit document (voir aussi la traduction fran�aise au bas de cet article).

Moyens ��conventionnels ou non conventionnels��

Ce que Ren� Mugenzi dit avoir appris par ailleurs, c’est que cette ��source de renseignement fiable�� brandie par Scotland Yard n’�tait autre que le MI5.

Ce service de renseignement int�rieur aurait d�couvert en avril 2011 que Kigali projetait d’assassiner certains de ses ressortissants sur le sol britannique.

Aucune pr�cision de ce type n’est visible dans le document de notification, qui stipule toutefois que la menace peut prendre tout type de formes. Le document rappelle surtout qu’il y a d�j� eu des pr�c�dents, et que des moyens conventionnels ou non conventionnels avaient alors �t� employ�s.

Londres ne proteste pas officiellement

La police aurait demand� � Ren� Mugenzi de prendre un certain nombre de mesures de s�curit�, que ce dernier dit suivre encore aujourd’hui. Des conseils, rien de plus.

Sur le document figurent aussi des num�ros � appeler en cas d’incidents suspects. Ces num�ros sont ceux d’un service de Scotland Yard charg� de faire le suivi des personnes dont la vie est menac�e.

Le Royaume-Uni, alors consid�r� comme un proche alli� du Rwanda, n’a jamais officiellement protest� ou fait �tat de ces projets d’assassinats sur son territoire.

��Ce que vous avez fait ne suffit pas��

Ren� Mugenzi met en cause la communaut� internationale et la Grande-Bretagne pour leur silence. Selon lui, cette discr�tion donne carte blanche � Kigali pour continuer de mener des assassinats � l’�tranger.

��Ils ont dit au gouvernement rwandais que ce n’�tait pas acceptable d’essayer de faire ce genre d’activit�s sur le sol britannique,�assure-t-il,�mais malheureusement, �a n’est pas all� plus loin que �a, ils ne voulaient pas trop faire de scandale.��

Et de continuer�: ��J’ai protest�, j’ai dit�: “Ce que vous avez fait pour le Rwanda, �a ne suffit pas.” Il faut que la communaut� internationale arr�te de ne rien dire au Rwanda.��

“Le Rwanda, c’est comme s’ils avaient (carte blanche) pour continuer. La communaut� internationale n’a rien fait en ce qui concerne ce que le Rwanda fait”. Ren� Mugenzi.

VERSION�FRANCAISE DE�LA�NOTICE

��M. Ren� Claudel Mugenzi – 13 avril 1976 (date de naissance, NDLR)

J’ai re�u l’information suivante, qui indique que votre s�curit� personnelle est menac�e.

Je pr�cise que sous aucun pr�texte je ne d�voilerai la source de cette information, et je ne peux en commenter la fiabilit�, ni concernant son origine, ni son contenu. Mais je n’ai pas de raison de ne pas la prendre au s�rieux. Je n’ai pas d’autre information concernant cette menace et ne suis aucunement impliqu� dans cette affaire.

Une source de renseignement fiable �tablit que le gouvernement rwandais menace votre vie de fa�on imminente. Cette menace peut prendre toute forme. Vous devez �tre avis� que d’autres affaires semblables se sont produites dans le pass�. Avec des moyens conventionnels ou non conventionnels.

Bien que les services de police prendront les mesures ad�quates, dans la mesure de ses possibilit�s, la police ne peut pas prendre en charge votre protection au jour le jour, ou heure par heure.

J’insiste aussi sur le fait que vous informer de cette menace par le biais de nos services ne vous autorise pas � agir en dehors de toute voie l�gale (c’est-�-dire, port d’arme de d�fense ou d’assaut, ou trouble � l’ordre public). Dans le cas ou vous seriez en infraction avec la loi, nous agirions en cons�quence.

Je vous sugg�re donc de parer � toute �ventualit� en prenant des mesures de s�curit� telles que l’installation d’un syst�me d’alarme anti-vol pour votre domicile, changer vos habitudes quotidiennes, ne pas marcher seul, avoir constamment un t�l�phone portable sur vous, installer une cam�ra de surveillance � l’entr�e de votre domicile, s�curiser votre int�rieur avec des serrures et des verrous. Vous pourriez m�me envisager de vous �loigner sans tarder. C’est � vous de d�cider.

Si vous voulez bien me donner toute pr�cision sur l’endroit o� vous souhaiteriez vous installer, je ferai en sorte que nos �quipes de police prennent toutes les mesures n�cessaires pour assurer votre s�curit�.

Je vous demande �galement de contacter la police au moindre incident suspect qui pourrait �tre en relation avec cette menace.��

Source: RFI.

January 10, 2014   No Comments

Rwanda: Le Juge Tr�vidic et la France prot�gent-ils Paul Kagame effectivement?

Rwanda:Le Juge Tr�vidic va devoir faire vite! A moins qu�en � haut lieu � il ait �t� d�cid� de � jouer la montre � afin de prot�ger Paul Kagam�…

Le juge Tr�vidic va devoir faire vite, s�il veut rencontrer des t�moins � en vie � de l�assassinat du pr�sident Habyarimana

Patrick Karegeya, l�ancien chef des renseignements ext�rieurs de Paul Kagame entre 1994 et 2004, l�homme de tous les secrets, qui avait fini par rompre avec son ancien chef, a �t� �trangl� dans sa chambre d�h�tel de Johannesburg.

R�fugi� en Afrique du Sud avec le g�n�ral Faustin Kayumba Nyamwaza, ancien chef d��tat-major de l�APR (Arm�e patriotique rwandaise), l�arm�e tutsi, l�ancien chef du renseignement militaire accusait de la fa�on la plus claire le pr�sident Kagame d��tre le responsable de l�attentat du 6 avril 1994 qui co�ta la vie au pr�sident �Habyarimana, acte terroriste commis en temps de paix et qui fut l��l�ment d�clencheur du g�nocide. Patrick Karegeya avait affirm� au micro deFrance Info�qu�il �tait en mesure de prouver d�o� les missiles avaient �t� tir�s.

Au mois de juin 2010, le g�n�ral Kayumba a surv�cu par miracle � une tentative d�assassinat dont les auteurs, des Rwandais, sont jug�s en Afrique du Sud. Le jeudi 21 juin 2012, lors du proc�s, il fit une d�claration fracassante en affirmant sous serment que Paul Kagam� ��a ordonn� le meurtre du pr�sident Habyarimana�. Il confirmait ainsi les termes de l�ordonnance du juge Brugui�re accusant l�actuel chef de l�Etat rwandais d��tre � l�origine de l�attentat d�clencheur du g�nocide du Rwanda.

Apprenant la nouvelle de l�assassinat du colonel Karegeya, le g�n�ral Kayumba a d�clar�: ��Le gouvernement du Rwanda est responsable de tout cela. Patrick Karegeya est r�fugi� ici, en Afrique du Sud. Il n�a jamais eu aucun probl�me avec qui que ce soit dans ce pays. Qui d�autre que le pr�sident Paul Kagame, qui l�a pourchass� au cours des dix derni�res ann�es, voudrait le voir mort�? C�est un assassinat politique comme le gouvernement du Rwanda en a toujours men�. C�est la politique du gouvernement du Rwanda de tuer ses opposants��.

Le g�n�ral Kayumba et le colonel Karegeya demandaient depuis des mois � �tre entendus par la justice fran�aise car, affirmaient-ils, ils d�tenaient tous les secrets entourant l�attentat du 6 avril 1994. Le juge Tr�vidic ne pourra donc plus interroger le second�

Trois t�moins de tr�s haut rang sont encore en vie, le g�n�ral Kayumba Nyamwasa, G�rald Gahima ancien procureur g�n�ral du r�gime Kagame et Th�og�ne Rudasingwa, ancien chef de cabinet du pr�sident Paul Kagame qui, tous trois accusent ce dernier d�avoir ordonn� l�attentat qui fut l��l�ment d�clencheur du g�nocide.�Le juge Tr�vidic doit donc faire vite s�il veut pouvoir les interroger� A moins qu�en ��haut lieu�� il ait �t� d�cid� de ��jouer la montre�� afin de prot�ger Paul Kagam�…�

Le 27 janvier 2014, je publierai aux �ditions du Rocher un livre intitul�Rwanda�: un g�nocide en questions. Ce livre repose sur les archives jusqu�alors inexploit�es du TPIR (Tribunal p�nal international pour le Rwanda). Expert asserment� dans les principaux proc�s qui se tinrent devant ce tribunal� cr�� par le Conseil de S�curit� de l�ONU, j�ai en effet eu acc�s aux dizaines de milliers de pages des proc�s-verbaux des audiences, aux auditions des centaines de t�moins, aux innombrables pi�ces ajout�es en preuve ou en contre preuve, aux rapports pr�sent�s et d�fendus par les experts, aux interrogatoires, aux contre-interrogatoires et aux jugements rendus en premi�re instance ou en appel.

Cette consid�rable et irrempla�able masse documentaire �tait jusque-l� demeur�e inutilis�e ou m�me ignor�e par tous ceux qui ont �crit sur le g�nocide, ce qui m�a permis de d�construire point par point une histoire officielle frapp�e d�obsolescence�; � commencer par la question de l�attentat du 6 avril 1994.

Bernard Lugan�–�03/01/2014�
(bernardlugan.blogspot.co.uk/2014_01_01_archive.html)

January 4, 2014   No Comments

Justice pour Matthieu Ngirumpatse?

Ngirumpatse Mathieu

Ngirumpatse Mathieu

Bonjour,

Je voudrais attirer votre attention sur un sujet qui me tient � coeur.

Si vous aussi vous y �tes sensible je vous encourage � aller signer la p�tition et � faire suivre cet Email � vos contacts.

Adresse de la p�tition : https://www.lapetition.be/petition.php?petid=13823P�tition : Justice pour Matthieu Ngirumpatse
Parce que la lutte contre l�impunit� ne peut justifier l�instauration d�une pr�somption de responsabilit� puis de culpabilit�, ni l�gitimer une condamnation fond�e sur la fabrication de preuves et de faux t�moignages, une d�naturation de la preuve, une m�connaissance des droits de la D�fense ainsi que du droit � un proc�s �quitable ;

Parce que le cr�dit de la Justice P�nale Internationale est gravement affect� par une d�cision de culpabilit� rendue en m�connaissance de la D�fense, de ses moyens et arguments, des t�moignages � d�charge, dans une d�marche de sauvetage par principe d�une accusation d�faillante, dans une cr�dibilit� aveugl�ment reconnue � des t�moins achet�s par l�accusation, � des t�moignages tardivement fabriqu�s, concert�s, r�mun�r�s, par des d�tenus que m�me la justice rwandaise qualifie de faux t�moins professionnels ;

Parce que l�instauration d�une juridiction d�exception charg�e de juger les � pr�sum�s responsables d�actes de g�nocide � n�autorise aucun compromis dans l�application de principes universels, ni ne justifie que ceux qui sont d�f�r�s � ces juridictions soient d�chus de ces protections dues � quiconque est pr�sum� innocent tant que sa culpabilit� n�a pas �t� �tablie par l�accusation, � qui incombe la charge de la prouver, parce que toute atteinte � ces principes ne constituerait que des pr�c�dents auxquels quiconque serait demain expos� ;

Parce que la r�conciliation du Peuple Rwandais est l�un des objectifs assign� au Tribunal International pour le Rwanda, et qu�elle ne peut passer ni par la stigmatisation de l�une de ses composantes ethniques, ni par la condamnation de ceux qui en son sein ont cru devoir �uvrer autant qu�ils le pouvaient � sauver tous ceux qui �taient menac�s, sans exclusive ni discrimination, et qu�il est consternant qu�un jugement puisse condamner l�auteur d�un appel pour � que les tueurs cessent de tuer � jug� � ambigu et trop g�n�ral � en �rigeant en crime le fait de n�avoir pas appel� � les Interahamwe � cesser de tuer les tutsis � ;

Parce que ce jugement ruine toute perspective de r�conciliation en condamnant un homme pour ce qu�il est et non pour ce qu�il aurait fait et, tout en lui reconnaissant ses qualit�s humaines unanimement reconnues, sa personnalit�, sa ligne de conduite d�lib�r�e ayant syst�matiquement privil�gi� le dialogue, le respect de l�autre, l�action en faveur de la paix et contre toutes formes de discrimination, en refusant d�en d�duire les seules conclusions tenant � l�exclusion de toute intention g�nocidaire ;

J�appelle

�tous ceux qui, de toutes origines sociales, nationales, ethniques, de toutes confessions et de toutes opinions politiques, restent boulevers�s par la trag�die rwandaise et se veulent attentifs au sort du peuple rwandais, dans toutes ses composantes, et ne peuvent que redouter les effets d�une condamnation injuste frappant des personnalit�s reconnues pour leur engagement et leurs actions en faveur de la paix et de la d�mocratie ;

�toutes les organisations de d�fense des Droits de l�Homme, et tous ceux qui sont attach�s au respect des droits de l�Homme et � la sauvegarde des principes essentiels du droit � un proc�s �quitable, de la pr�somption d�innocence, de l�individualit� de la responsabilit� p�nale, de la non discrimination dans l�administration de la justice p�nale ;

�tous ceux qui consid�rent que la pr�servation du cr�dit de la Justice P�nale Internationale passe par son administration impartiale, �quitable, juste et loyale ;

�tous les professionnels du droit, avocats, professeurs de droit, experts qui, connaissance prise du jugement et des actes du proc�s, ne peuvent que s�offusquer d�une d�cision dont les motifs et les conclusions se traduisent par un d�ni de justice ;

�tous ceux, t�moins, experts, qui �pris de v�rit�, ne peuvent admettre que la parole des t�moins ne soient entendue qu�� condition qu�ils accusent, pour �tre ignor�e, m�pris�e quand ils innocentent,

� exprimer leur soutien � M. Ngirumpatse, et leur attente que la Chambre d�appel du TPIR, au terme d�une analyse impartiale des �l�ments qui lui sont soumis, prononce l�acquittement qui mettra fin � une d�tention provisoire de plus de quinze ann�es

Merci � vous.

Justice NGIRUMPATSE

https://www.lapetition.be/petition.php?petid=13823

January 3, 2014   1 Comment

Le Colonel Patrick Karegeya de l’opposition rwandaise retrouv� mort dans un H�tel de Johannesbourg

Colonel Patrick Karegeya

Colonel Patrick Karegeya

JOHANNESBOURG – 01/01/2014 – L�ancien chef des renseignements du Rwanda, Le Colonel Patrick Karegeya vient d��tre retrouv� mort dans un H�tel de Johannesbourg. Une enqu�te en cours d�terminera dans les jours � venir la cause de ce d�c�s que ses proches qualifient de suspect.

Karegeya avait �t� jet� en prison pour indiscipline, d�sertion et insubordination apr�s avoir �t� d�pouill� de son grade de colonel en 2006 et s’exila en Afrique du Sud en 2007.

Karegeya est n� � Mbarara dans le sud-ouest de l�Ouganda. Il a fr�quent� l’Universit� de Makerere o� il a obtenu une licence en droit et rejoindra l�Arm�e de r�sistance nationale en Ouganda � la fin de ses �tudes.

Plus tard, il s’est joint au pr�sident Yoweri Museveni dans la lutte qui a conduit au renversement de Milton Obote. Il rejoindra en 1990 le Front Patriotique Rwandais (FPR) qui en 1994 lib�re le Rwanda de la dictature du pr�sident Juv�nal Habyarimana, mettant fin au g�nocide de 1994.

De 1994 � 2004 Karegeya �tait directeur g�n�ral de l�Intelligence externe dans les Forces rwandaises de d�fense (RDF).

En Ao�t 2010 Karegeya avait d�clar� au journal ougandais The Observer que le pr�sident Paul Kagame �tait un dictateur qui ne quittera le pouvoir que s�il est chass� par la guerre. Le m�me mois, il d�clarera aussi sur BBC que Kagame avait ordonn� une s�rie d’assassinats politiques.

Source: VirungaNews.com

January 1, 2014   No Comments

Congo (RDC)-Rwanda: Le M23 se r�g�n�re � partir du Rwanda et de l�Ouganda, selon l�ONU

Rebelles - Congo (RDC)

Les rebelles du M23 continuent de recruter au Rwanda malgr� leur d�faite dans l�Est de la R�publique d�mocratique du Congo (RDC) tandis que les forces arm�es congolaises se sont rendues coupables d�atteintes aux droits de l�Homme, est-il �crit dans un rapport confidentiel des Nations Unies.”Le groupe (d�experts) a �tabli que le M23 a re�u un soutien continu en provenance du territoire rwandais”, �crit le groupe d�experts de l�ONU dans la version d�finitive de son rapport destin� au comit� des sanctions du Conseil de s�curit� de l�ONU.”Le groupe a re�u des informations cr�dibles qui montrent que les dirigeants du M23 sont libres de leurs mouvements en Ouganda et que le M23 a continu� de recruter au Rwanda”, ajoute-t-il.Cette commission ind�pendante d�experts accuse en outre les groupes rebelles et les forces arm�es de RDC (FARDC) de diverses atteintes aux droits de l�homme, dont enr�lement d�enfants soldats, ex�cutions sommaires et violences sexuelles.

Elle les accuse aussi d�exploitation ill�gale des ressources mini�res de l�Est de la RDC, o� une multitude de groupes rebelles ont pris les armes depuis les ann�es 1990 pour tenter de prendre le contr�le des gisements d�or, de diamants, de cuivre, de cobalt et d�uranium de la r�gion.

Ces violences aliment�es par des rivalit�s ethniques et accompagn�es par leurs cort�ges de maladies et de famines ont fait des millions de morts.

Les experts de l�ONU estiment que 98% de l�or extrait des mines de RDC en 2013 a �t� pass� en contrebande � l�ext�rieur du pays et vendu dans sa quasi-totalit� � partir de l�Ouganda. Ils estiment la valeur de ce trafic entre 383 millions et 409 millions de dollars.

TIRS DE CHARS RWANDAIS

Les experts de l�ONU ont accus� � plusieurs reprises le Rwanda voisin d�appuyer la r�bellion du M23, la plus importante de la d�cennie �coul�e en RDC, ce que le gouvernement de Kigali d�ment vigoureusement.

La repr�sentation du Rwanda � l�ONU n�a pas r�agi dans l�imm�diat au rapport des experts de l�ONU mais un diplomate rwandais a d�clar� � Reuters: “Nous sommes fatigu�s par ces accusations, toujours les m�mes.”

Un porte-parole de la mission ougandaise aux Nations Unies a dit ne pas �tre en mesure de r�agir � un rapport n�ayant pas encore �t� officiellement pr�sent�. Les diplomates congolais n��taient pas joignables dans l�imm�diat.

Les forces arm�es de RDC, appuy�e par une brigade d�intervention de l�ONU, ont accumul� au d�but de l�automne les succ�s militaires contre les combattants du M23, essentiellement Tutsis, qui ont proclam� le 5 novembre la fin de leur r�bellion. Un accord de paix a �t� sign� jeudi.

“La forme la plus constante de soutien passait par le recrutement et la fourniture d�armes et de munitions, particuli�rement dans les p�riodes de combats”, �crivent les experts de l�ONU dans leur rapport de 48 pages dat� du 12 d�cembre.

“Le M23 a �galement re�u des renforts de troupes directs de la part de soldats rwandais en ao�t”, poursuivent les auteurs. “Durant les combats d�octobre, des chars rwandais ont tir� en RDC pour appuyer le M23.”

Le Rwanda est intervenu � plusieurs reprises en RDC pour traquer les miliciens hutus jug�s responsables du g�nocide de 800.000 Tutsis et Hutus mod�r�s en 1994 sur son territoire.

NOUVELLE MENACE

Le gouvernement de Kigali accuse l�arm�e congolaise de collaborer avec les Forces d�mocratiques de lib�ration du Rwanda (FDLR), ce que Kinshasa d�ment.

D�apr�s l�ONU, environ un tiers des effectifs des FDLR sont des Hutus ayant fui le Rwanda apr�s le g�nocide de 1994.

“Au cours de l�ann�e 2012, le groupe a mis en �vidence des cas de collaboration au niveau local entre les FDLR et les FARDC”, �crivent les experts de l�ONU.

Dans leur rapport, ils font �tat de “violations graves du droit humanitaire international, notamment l�enr�lement et l�utilisation d�enfants soldats, des ex�cutions sommaires, des violences sexuelles et des attaques cibl�es contre la population civile”.

“Si les groupes arm�s ont commis nombre de ces crimes, le groupe a aussi identifi� les FARDC comme parties prenantes de nombreuses violations”, est-il �crit dans le rapport. “Les forces de s�curit� gouvernementales, en particulier les FARDC, demeurent une source importante de violences sexuelles, en particulier contre les mineurs.”

Les experts de l�ONU soulignent que la d�faite du M23 a constitu� un signal fort pour les autres groupes arm�s de l�Est de la RDC, dont plusieurs ont commenc� � se rendre ou ont demand� � �tre int�gr�s � l�arm�e et � la police.

Ils identifient cependant une autre menace, celle des Forces d�mocratiques alli�es (ADF). Ce mouvement islamiste a manifestement entrepris de constituer des r�serves de m�dicaments et d��quipements m�dicaux en attaquant des installations sanitaires, ce qui, pour les experts de l�ONU, signifie qu�il se pr�pare � un assaut de la brigade d�intervention de l�ONu ou qu�il s�appr�te � lancer sa propre offensive.

Dans leur rapport, les experts disent n�avoir �tabli aucun lien entre les ADF et les Chabaab somaliens ou Al Qa�da.

Source: onewovision.com – 18/12/2013.

December 18, 2013   No Comments

RDC : le M23 se r�g�n�re-t-il � partir du Rwanda et de l�Ouganda ?

Rebelles Congo

Sur le papier, la r�bellion du Mouvement du 23-Mars (M23) a pris fin apr�s une d�faite militaire, d�but novembre, sanctionn�e par la r�cente d�claration de Nairobi. Pourtant, plusieurs sources, dont un rapport encore confidentiel d�experts onusiens, indiquent que l�ex-groupe rebelle tenterait de se refaire une sant� en proc�dant � de nouveaux recrutements au Rwanda et en Ouganda, o� ses dirigeants se sont r�fugi�s. C�est un document qui ne devrait pas passer inaper�u. Le rapport final du groupe d�experts des Nations unies sur la RDC, encore confidentiel mais dont l�agence Reuters s�est procur� une copie, affirme non seulement que les rebelles du Mouvement du 23-Mars (M23) ont b�n�fici� d�un “soutien continu” de Kigali lors des derni�res offensives des Forces arm�es de la RDC (FARDC) appuy�es par la brigade d�intervention de l�ONU, mais surtout qu�”ils ont continu� � recruter au Rwanda”, apr�s leur d�faite militaire sur le terrain. Plusieurs sources diplomatiques occidentales contact�es par Jeune Afrique expliquent qu�elles ne sont pas surprises par les all�gations contenues dans le rapport d�experts onusiens. “Nous n�avons jamais eu d�engagement ferme et clair des autorit�s rwandaises sur la cessation de tout appui aux rebelles du M23, confie un diplomate europ�en bas� � Kinshasa. Nous avons donc toujours suppos� que le soutien de Kigali, bien que diminu� � la suite des pressions diplomatiques et de l�action militaire sur le M23, persistait.”
Les accusations contre Kigali, des “mensonges” ? Le diplomate rel�ve �galement que ce fut “la reprise par les FARDC de la route principale de connexion entre le M23 et le Rwanda qui [diminua] gravement tout soutien de l�arm�e rwandaise aux rebelles congolais.” M�me son de cloche � Kinshasa. “Jusqu�au dernier jour de l�offensive triomphante des FARDC, le Rwanda a continu� � apporter son soutien aux rebelles du M23”, affirme Lambert Mende. Pour le porte-parole du gouvernement congolais, le rapport du groupe d�experts onusiens ne vient que “confirmer ce que les autorit�s congolaises n�ont cess� de d�noncer”.

Source: onewovision.com – 18/12/2013.

December 18, 2013   No Comments

Rwanda: La condamnation de Madame Victoire Ingabire � 15 ans de prison est un verdict contre l�ensemble de l�opposition d�mocratique

Rwanda: La condamnation de Madame Victoire Ingabire � 15 ans de prison est un verdict contre l�ensemble de l�opposition d�mocratique

Le 13 d�cembre 2013

La condamnation de Madame Victoire Ingabire, Pr�sidente des FDU-INKINGI, � 15 ans de prison ferme, loin d��tre un cas isol�, est un signal fort que le gouvernement du FPR envoie � l�ensemble de l�opposition d�mocratique. En effet, les charges aujourd�hui retenues contre elle, sont � quelques d�tails pr�s, les m�mes que celles retenues contre les autres chefs de l�opposition condamn�s par la justice rwandaise, � savoir : Deo Mushayidi, Pr�sident du PDP-IMANZI et Bernard Ntaganda, Pr�sident du PS-IMBERAKURI. Mme Ingabire expie les � p�ch�s � de toute l�opposition d�mocratique.

Pourtant, au cours des audiences, elle a prouv�, au-del� de tout doute raisonnable, que les charges retenues contre elles n��taient �tay�es par aucune preuve ni un quelconque fait v�rifiable. Ce qui r�v�le un proc�s purement politique.

Lors de sa condamnation � 8 ans par la Haute Cour, Mme Ingabire �tait accus�e de conspiration contre le r�gime en place et de minimisation du g�nocide. La Cour Supr�me y a ajout� le crime de propagation de rumeurs. La conspiration contre le r�gime �tait fond�e sur l�entretien d�une pr�tendue r�bellion arm�e : la CDF dont l�existence a �t� d�molie, au cours des audiences � la Cour Supr�me, par les m�mes t�moins, d�sabus�s, que le Procureur avait pourtant auparavant produits devant la Haute Cour. Un nouveau t�moin a m�me r�v�l�, avec force d�tails, comment le plan avait �t� �chafaud� au camp de r��ducation de Mutobo,Ruhengeri.

La plateforme FDU-INKINGI, IHURIRO-RNC, AMAHORO-PC exprime son soutien inconditionnel � Madame Victoire Ingabire. Elle r�it�re qu�elle ne se laissera pas intimid�e par l�instrumentalisation de la justice par le r�gime du FPR pour contrer l�opposition. Le r�gime de Kigali croit qu�en emprisonnant Madame Ingabire, �teindra cette derni�re politiquement, l��loignera de son combat politique et dissuadera le reste de l�opposition d�mocratique. Il se trompe. La lutte de Madame Ingabire pour une soci�t� libre et d�mocratique et pour le vivre ensemble entre rwandais est en effet plus forte qu�elle. Elle ne pourra pas s�en d�partir.

La plateforme FDU-INKINGI, IHURIRO-RNC, AMAHORO-PC en appelle au peuple rwandais, afin qu�il prenne en mains son destin et revendique ses droits civiques. Personne d�autre ne le fera � sa place. La plateforme restera � ses c�t�s, pr�te � canaliser ses revendications. Elle s�adresse �galement aux amis du Rwanda, pour qu�ils usent de leur influence aupr�s du r�gime du FPR, afin de l�amener � la raison et d�ouvrir l�espace politique, tel que demand� par le parlement europ�en dans�sa r�solution 2013/2641(RSP).

Pour la Plateforme,

Dr. Nkiko Nsengimana
Coordinateur
FDU-INKINGI
Lausanne, Switzerland

Etienne Masozera
Pr�sident
AMAHORO-PC
Ottawa, Canada

Dr. Theogene Rudasingwa
Coordinateur
IHURIRO-RNC
Washington DC, USA

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December 14, 2013   No Comments

RDC – Offensive de l�arm�e congolaise contre les FDLR : Enlever � Kigali son dernier alibi

Militaires-Congo

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Depuis la d�faite militaire du M23, on savait que l��preuve de force entre l�arm�e congolaise et les rebelles hutus des FDLR op�rant � l�Est, �tait devenue in�vitable.En effet, revigor�e moralement par sa victoire � �clair �, l�arm�e congolaise, soutenue par les Casques bleus de la Monusco, est pass�e, le 10 d�cembre, � l�offensive. Soulignons que durant des d�cennies, l�Est du Congo, notamment le Sud-Kivu, �tait devenu un champ clos � l�int�rieur duquel des milices et mouvements de r�bellion de toutes sortes y faisaient r�gner leur � loi �, bas�e sur la pr�dation, les viols et les massacres des populations civiles.
La pr�sence des �l�ments des FDLR sur le sol congolais servait jusque-l� � justifier les incursions r�p�titives de l�arm�e rwandaise � l�Est de la RD CongoParmi ces mouvements de r�bellion, il y a les FDLR, une structure militaro-politique constitu�e d�ex-g�nocidaires assoiff�s de revanche. Et, pour le r�gime Kagam�, ces rebelles hutus ont toujours constitu� une menace pour la stabilit� ext�rieure du Rwanda. Pour les mettre hors d��tat de nuire, Kigali a toujours opt� pour une strat�gie d�encerclement b�tie autour de � forces suppl�tives � form�es et encadr�es par l�arm�e rwandaise. La pr�sence des �l�ments des FDLR sur le sol congolais servait jusque-l� � justifier les incursions r�p�titives de l�arm�e rwandaise � l�Est de la RD Congo. Et ce, en totale violation des conventions internationales reconnaissant l�int�grit� territoriale et la souverainet� du pays de Lumumba. Enfin, Kabila tient sa promesse faite apr�s la victoire de l�arm�e congolaise sur le M23 : d�manteler les FDLR. Comme si le temps �tait venu d�enlever � Kigali son dernier alibi. Cela dit, qu�il s�agisse de la RD Congo ou du Rwanda, � long terme, le probl�me de la s�curit� et de la paix n�est pas militaire, mais politique. Pour se relever de ses ruines et se reconstruire, en RD Congo, il faudra refonder compl�tement le pacte politique. A l�heure actuelle, le syst�me politique congolais continue de reposer sur l�exclusion et le recours aux m�thodes autoritaires.

Oui, avec l�offensive de d�mant�lement des FDLR, Kabila a choisi d�agir au bon moment. Ainsi, il enl�ve � Kigali son dernier alibi-refuge

Certes, en brandissant son nouveau costume de � lib�rateur du Congo �, Kabila cherche � faire oublier que son r�gime souffre d�un gros d�ficit de l�gitimit�. La RD Congo, avec Kabila, reste � une d�mocratie superficielle, une d�mocratie d�usurpation �.
De m�me, le r�gime Kagam� rencontre de s�rieuses difficult�s � �pouser correctement les vertus d�mocratiques. Evidemment, avec le g�nocide, le Rwanda est revenu � la vie gr�ce aux FDLR, apr�s avoir �t� jusqu�au bout de la nuit. Bien s�r, il faut continuer � traquer, � punir les auteurs du g�nocide. Mais, quels que soient les crimes des FDLR, rarement dans l�histoire africaine un groupe en a commis de tels. Du moment que l��crasante majorit� de la population se revendique hutu, et continuera de vivre au Rwanda, il faudra bien que le r�gime Kagam� engage � une politique de r�conciliation r�aliste � entre Rwandais. Ce serait la seule fa�on d�assurer, d�finitivement, la victoire sur l�ennemi. Oui, avec l�offensive de d�mant�lement des FDLR, Kabila a choisi d�agir au bon moment. Ainsi, il enl�ve � Kigali son dernier alibi-refuge. En cas de victoire, il devra poursuivre sa politique de d�tente avec le Rwanda, un acteur g�opolitique et diplomatique majeur, incontournable sur la sc�ne africaine.

Abdoulaye BARRO

Source: onewovision.com – 13/13/2013.

December 14, 2013   No Comments

RDC: priorit� � la traque des rebelles rwandais des FDLR (ONU)

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KINSHASA, 12 d�cembre 2013 (AFP) – La traque des rebelles rwandais des Forces d�mocratiques de lib�ration du Rwanda (FDLR) dans l�Est de la R�publique d�mocratique du Congo (RDC) est la priorit� num�ro un des Casques bleus dans ce pays, a indiqu� jeudi l�ONU. “La priorit� num�ro un de la Monusco [Mission de l�ONU pour la stabilisation de la RDC, NDLR] est d�sormais les FDLR”, a indiqu� le repr�sentant sp�cial du secr�taire g�n�ral des Nations unies en RDC, Martin Kobler, sur son compte Twitter. La victoire de l�arm�e congolaise contre les rebelles du Mouvement du 23 Mars (M23), d�but novembre, “offre la possibilit� de se concentrer sur d�autres groupes arm�s”, ajoute le chef de la Monusco. Le gouvernement congolais a annonc� mercredi avoir lanc�, avec le soutien de la brigade d�intervention de la Monusco, une offensive destin�e � mettre fin une bonne fois pour toute � la pr�sence arm�e des FDLR en RDC. Selon l�ONU, cette op�ration, qui se concentre pour l�instant sur la r�gion de Pinga, � 90 km au nord-ouest de Goma, la capitale de la province du Nord-Kivu, au sous-sol extr�mement riche, a permis de lib�rer une route tenue depuis deux ans par les rebelles. Pour l�heure, l�offensive semble se limiter � une exhibition de force et � un renforcement de la pr�sence militaire sur le terrain, ni l�ONU ni les FARDC n�ayant fait part d�affrontements. “A ma connaissance, jusqu�� pr�sent, il n�y a pas eu de combats”, confirme un expert militaire � Kinshasa, sous le couvert de l�anonymat.

Interrog� par l�AFP, le ministre de la D�fense congolais, Alexandre Luba Ntambo, a indiqu� qu�il �tait encore “trop t�t pour juger des op�rations militaires”.

Il a pr�cis� que les FARDC offraient toujours la possibilit� “� tous les groupes arm�s” de se rendre plut�t que de subir l��preuve du feu.

Les FDLR sont form�es de rebelles hutu rwandais r�fugi�s en RDC depuis le g�nocide perp�tr� en 1994 au Rwanda contre les Tutsis et comptent encore dans leurs rangs des auteurs du g�nocide.

Depuis la d�faite du M23, r�bellion majoritairement tutsi ayant s�vi au Nord-Kivu de mai 2012 � novembre 2013, les FDLR sont la premi�re milice homog�ne en termes de nombre de combattants pr�sents sur le sol congolais. Selon les estimations, elles comptent 1.800 � 2.300 hommes diss�min�s au Nord et au Sud-Kivu.

Accus�es d�avoir commis des atrocit�s � grande �chelle contre des civils, les miliciens FDLR, dont le nombre n�a cess� de baisser depuis 2006, sont aujourd�hui d�abord une menace pour la population locale des zones o� ils �voluent, m�me si leur objectif proclam� reste de renverser le r�gime du pr�sident Paul Kagame, au pouvoir � Kigali depuis 1994.

December 14, 2013   No Comments